PHILOSOPHIE !
La vie est une probabilité de rencontre et pour cause - Isidore AYA TONGA est un cas d'exemple de cette probabilité !
NOUVELLES SYNTHÈSES ET LES PROBLÉMATIQUES SOCIÉTALES DE NOUVEAUX ROBINS DE BOIS: NOUS SOUHAITONS UN MONDE SOCIOPOLITIQUE ET ÉCONOMIQUE AUTOGÉRÉ D'EN BAS VERS LE HAUT ET NON D'EN HAUT VERS LE BAS. C'EST UNE UTOPIE !
Par ailleurs, dans l'entreprise, on recherche et on regroupe toujours les meilleurs talents afin de repenser et perfectionner le statut de l'individu, la condition salariale, sociale et humaine.
Ceci est "état d'esprit organisationnel, managérial et de création de richesses... et puis et puis la valeur ajoutée (la prise de risques, le goût de l'effort et de entrepreneuriat, de l'actionnariat...)".
Cependant, en politique on divise pour mieux régner ou servir ses intérêts partisans et ou particuliers. Quel gâchis cognitif, entrepreneurial, de création de richesses, de valeurs ajoutées et du sociétal?
Toutefois, pas de mobilisation ou d'adhésion profonde du citoyen, de la volonté générale et du peuple souverain, ni de dépassement de soi, sans des règles du jeu fiables, ni autorité de l'état et encore moins sans un rêve commun et sans symboles et valeurs politiques, intellectuelles, philosophiques, morales, sociales, économiques, culturelles et sociétales et surtout sans horizon à atteindre, de lendemains à construire, de futur à édifier.
Dans 97% de cas, les dictateurs apportent le chaos à leur peuple. Tous ceux qui travaillent ou soutiennent les tyrans ont besoin de les protéger pour aussi éviter le chaos.
Par ailleurs, un peuple qui a connu 15, 20, 25, 30, 35, 40 ans et plus de dictature aura besoin de la moitié de ce temps passé pour pouvoir se reconstruire.
Cette durée est d'autant plus importante quand les dictatures se suivent et se ressemblent. C'est la règle, elle est universelle et immuable partout dans le monde.
C'est les raisons pour lesquelles les politiciens de tout écosystème sociétal posent bien de sérieux problèmes dans nos écosystèmes politiques, socioéconomiques, environnementaux et sociétaux actuels.
PHILOSOPHIE !
Une maison, quelle qu’elle soit, abîmée ou non, sans socle ni fondation s’écroulerait dans le temps comme un château de cartes. C'est la règle, elle est universelle et immuable dans tous les écosystèmes sociétaux.
Par ailleurs, l’union n’est pas la fusion, l’union c’est l’unité, l’une des trois valeurs de la république congolaise (Unité – Travail – Progrès).
Mais étant donné la situation chaotique où se trouve le pays - aucun parti politique ni gouvernement d’union nationale, ne pourra prétendre réformer le socle du citoyen (l'esprit patriotique, souverain), des institutions (les règles du jeu politique et socioéconomique) et la condition humaine (l'accès aux minimas vitaux) au Congo.
Les pouvoirs politiques et les gouvernements d’union nationale n’ont toujours bien fonctionné qu’en cas de guerre avec l’ennemi venu de l’extérieur et ou dans le cas d’une période de transition politique nationale en vue de la refondation de la nation.
Par conséquent, une période de transition politique de 2 à 3 ans sera nécessaire pour la remise aux normes structurelles, conventionnelles et contractuelles de toutes les sphères politiques et sociétales de l’état et de la nation congolaise.
Si l’on réfléchit et s’accorde tous ensemble, sans guerre des égos, et des partis politiques, sur quel Congo de demain nous voulons - alors nous pourrons ensemble penser et repenser la mise en place d'une feuille de route commune et des moyens cognitifs en vue de la refondation de l'environnement sociopolitique, économique, financier, social, culturel, cultuel, environnemental et sociétal.
Sinon, si nous ne repensons pas ensemble nos modes de pouvoir et de représentativité politique ou économique, de démocratie revisitée ou participative sur différentes échelles locales, régionales et nationales.
Si nous ne repensons pas ensemble nos modes d'éducation, de formation, de besoins, de production, de consommation, de transport, de rejet dans l'environnement.
Si nous ne repensons ensemble de nouveaux modèles économiques et de partenariats économiques - nous allons tout droit dans le mur au détriment total et bien sûr de la condition humaine au Congo.
Le modèle économique congolais basé sur la rente pétrolière et l'exploitation abusive de nos forêts est fini - il va être dans une impasse budgétaire pour les finances publiques (moins de recettes budgétaires et plus de besoins et donc de dépenses, de dettes publiques et de dépendance financière vis à vis des institutions financières internationales).
Ce modèle subsiste pour l’instant, sous perfusion, grâce à l’exploitation forcenée du pétrole du Kouilou et du bois de la Sangha, de la likouala et du Niari.
Il est clair qu’il va finir à courte échéance et ça dépend de nous de savoir s’il va finir dans des explosions sociales et le chaos, ou de façon plus raisonnable.
CE N'EST QUE DANS LA PÉRIODE DE TRANSITION POLITIQUE OU D'UNION MEMORIALE QUE LE PEUPLE CONGOLAIS POURRA DIGNEMENT PENSER AU DEVOIR DE MÉMOIRE !
CE N'EST QUE DANS LA PÉRIODE DE TRANSITION POLITIQUE OU D'UNION PATRIOTIQUE QUE LA MATIÈRE GRISE ISSUE DES DIASPORAS CONGOLAISES POURRA ÊTRE UTILE AU PEUPLE CONGOLAIS - SINON QUE DALLE, MOI AUSSI !
Une élection Présidentielle en 2016/2017 pourquoi pas faire? Remplacez saint-Jacques par Saint-Jacques? Quelle connerie ou piège à con politique en perspective au Congo comme d'habitude sur le continent noir?
Oui, les africains ont pour sale habitude de recommencer les mêmes erreurs et ça recommence. C'est récurrent partout sur le continent noir !
Nelson Mandela l'avait pourtant dit en son temps je cite «c'est en révérant à un endroit où rien n'a bougé qu'on se rend compte à quel point on a changé».
Quoique la valeur d'une race, d'un groupe ethnique et ou d'un peuple ne se mesure pas à l'individu intelligent ou non. Elle se mesure par ses capacités cognitives à devoir penser, repenser, éduquer, structurer, organiser et manager dans la complexité des écosystèmes sociétaux sur différentes échelles.
En conclusion, je vous laisse avec cette pensée d’Albert Einstein : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les regardent faire sans rien faire. »
Donc, ceux qui ont le privilège de savoir ont le droit et le devoir d’agir !
Je vous remercie.
Isidore AYA TONGA
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