Jean Marie Michel MOKOKO : Et si c’était lui le candidat providentiel au poste de Président de la République pendant la période de transition politique de 3 années au Congo Brazzaville?

A DEUX PAS DE L’UNANIMITÉ POUR UNE PÉRIODE DE TRANSITION POLITIQUE AU CONGO BRAZZAVILLE !

Si l’on réfléchit et s’accorde tous ensemble, sans guerre des égos, et des partis politiques, sur quel Congo de demain nous voulons - alors nous pourrons ensemble définir comment réformer, structurer, restructurer le Congo de demain.

C'est notre patrimoine ancestral commun que nous sauvons envers et contre les ennemis de l’intérieur qui ne pensent qu'à l'élection présidentielle en 2016. Quelle connerie et quelle traitrise?

Par ailleurs, l’union n’est pas la fusion, l’union c’est l’unité, l’une des trois valeurs de la république congolaise (Unité – Travail – Progrès).

Mais étant donné la situation chaotique où se trouve le pays - aucun parti politique ni gouvernement d’union nationale, ne pourra prétendre réformer le socle de l’individu et de la société congolaise.

Les pouvoirs politiques et les gouvernements d’union nationale n’ont toujours bien fonctionné qu’en cas de guerre avec l’ennemi venu de l’extérieur et ou dans le cas d’une période de transition politique nationale en vue de la refondation de la nation.

Par conséquent, une période de transition politique de 3 ans sera nécessaire pour la remise aux normes structurelles, conventionnelles et contractuelles de toutes les sphères politiques et sociétales de l’état et de la nation congolaise.

Car une maison, quelle qu’elle soit, abîmée ou non, sans socle ni fondation, s’écroule dans le temps comme un château de cartes.

Donc, le modèle économique congolais basé sur la rente pétrolière et l'exploitation abusive de nos forêts est fini, il va être dans une impasse budgétaire pour les finances publiques (moins de recettes budgétaires et plus de besoins et donc de dépenses, de dettes publiques et de dépendance financière).

Ce modèle subsiste pour l’instant, sous perfusion, grâce à l’exploitation forcenée du pétrole du Kouilou et du bois du Niari, de la Sangha et de la Likouala.

Il est clair qu’il va finir à courte échéance et ça dépend de nous de savoir s’il va finir dans des explosions sociales et le chaos, ou de façon plus noble et raisonnable.

Quelqu'un parmi nous ici présent a-t-il un cerveau et ou des idées nouvelles liées aux enjeux de la croissance économique soutenable et de l'économie circulaire des 10 et 20 prochaines années à l'échelle congolaise?

OUI, LES NORDISTES DE HAUTE VALEUR CONSENSUELLE ET LES UNIVERSALISTES SUDISTES CONGOLAIS DOIVENT RÉPARER LE CHAOS OCCASIONNÉ PAR 47 ANS DE POUVOIR NORDISTE PUIS LÉGUER DANS LES BONNES CONDITIONS SOCIÉTALES CE BOULOT AU PROCHAIN PRÉSIDENT SUDISTE ÉLU DÉMOCRATIQUEMENT DES 2018 OU 2019...

Sinon, si nous ne repensons pas ensemble nos modes de pouvoir et de représentativité politique ou économique, de démocratie revisitée ou participative sur différentes échelles locales, régionales et nationales.

Si nous ne repensons pas ensemble nos modes d'éducation, de formation, de besoins, de production, de consommation, de transport et de rejet dans l'environnement (la protection de nos sources d'approvisionnement en eau et en énergie hydroélectrique, et puis).

Si nous ne repensons ensemble de nouveaux modèles économiques et de partenariats économiques - nous allons tout droit dans le mur au détriment total et bien sûr de la condition humaine au Congo.

Quoique la valeur d'une race, d'un groupe ethnique et ou d'un peuple ne se mesure pas à l'individu intelligent ou non. Elle se mesure par ses capacités cognitives à devoir penser, repenser, éduquer, structurer, organiser et manager dans la complexité des écosystèmes sociétaux sur différentes échelles.

En conclusion, je vous laisse avec cette pensée d’Albert Einstein : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les regardent faire sans rien faire. »

Donc, ceux qui ont le privilège de savoir ont le droit et le devoir d’agir – c'est à dire d'être humaniste, raisonnable, responsable, conscient donc de leurs actes, de leurs attitudes et de leur positionnement et comportement.

Je vous remercie.

Isidore AYA TONGA

Mots-clés: la période de transition politique, le fichier électoral, les nouvelles administrations de l'état, les institutions nouvelles, le devoir de mémoire, les libertés fondamentales, la condition humaine au Congo, les biens mal acquis, la social-démocratie participative, les prochaines élections présidentielles unanimement consensuelles, le rétablissement du rang de l'état congolais à l'échelle régionale et continentale.

2016/2017: UNE COALITION ARMÉE AFRICAINE CONTRE LE RÉGIME SASSOU NGUESSO N'EST PAS EXCLU !

Pourquoi la RD-Congo, le Rwanda, L’Angola, le Cameroun, la Centrafrique, le Tchad, le Burundi (sans Nkuruzinza) et le Gabon souhaitent t-ils en découdre avec Sassou Nguesso?

Maître Tony Gilbert Moudilou
Journal « SONGI-SONGI » N°6-7 Septembre et octobre 1998, page 21 à 23 - Paris France a dit « comment ne pas comprendre que le monde est devenu interdépendant ?

Comment peut-on penser un seul instant qu’on puisse construire sa maison, quand tout autour tout brûle, comment construire sa maison sur un sable mouvant quant on sait que l’instant d’après tout va s’écrouler ?

Quand on s’entoure de pays belliqueux, hostiles de cette taille, il est compréhensible qu’on nous lâcha des bombes, qu’on nous tira dessus sans ménagement. Quand on choisit d’éteindre le feu avec le pétrole, il faut reconnaître qu’on l’allume de plus belle».

PAS DE DÉMOCRATIE ET D'INVESTISSEURS ÉTRANGERS SANS LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE ET EXTÉRIEURE DU PAYS.

Après Sassou Nguesso, un pauvre civile, ne pourra pas aussitôt commandé le pays, sinon que se faire déstabiliser(coup d'état) par les officiers supérieurs et les généraux nordistes et affairistes (attention risque et danger d'instabilité permanente).

Le pays doit avant tout être pacifié, par celui qui a la maitrise du corps de l'armée et de carnet d'adresses du gotha de la sécurité militaire à l'échelle sous-régionale (Afrique équatoriale) et internationale. d’où son choix .

PHILOSOPHIE, ANTHROPOLOGIE & SOCIÉTÉ: OUI, LES VISIONNAIRES ET LES JUSTES SONT ET SERONT TOUJOURS VICTIMES OU EN AVANCE AVEC LEUR ÉPOQUE.

QUEL GÂCHIS SOCIÉTAL ET CIVILISATIONNEL A L’ÉCHELLE CONGOLAISE?

Le général Jean-Marie Michel Mokoko, né le 19 mars 1947 à Mossaka, est un officier général congolais ayant exercé les fonctions de chef d'état-major des armées du Congo-Brazzaville.

En 1987, il succèdera à Elenga au poste de chef d'état-major des armées du Congo. Il tenta en vain de dépolitiser l'armée pour mettre fin aux coups d'État.

Il est le seul homme ou officier supérieur de l'armée congolaise a avoir voulu et accepté dès 1990 à 1993, la tenue de la conférence nationale souveraine, puis du changement et enfin en 1992 des premières élections démocratiques libres et transparentes au Congo-Brazzaville.

Il était le chef d'état major général des armées (poste sensible ou cible pour monter des opérations de type coup d'état en Afrique).

Dans les officines politiques Makoua/Kouyou de l'époque, on disait ceci " tout sauf Sassou Nguesso mais pas pire que lui qu'il soit du Nord ou du Sud Congo".

Pourquoi une période de transition politique est une nécessité sociopolitique en vue de la refondation du Congo de demain?

Pas de mobilisation ou d'adhésion profonde du citoyen, de la volonté générale et du peuple souverain, ni de dépassement de soi, sans des règles du jeu fiables, ni autorité de l'état et encore moins sans un rêve commun et sans symboles et valeurs politiques, intellectuelles, philosophiques, morales, sociales, économiques, culturelles et sociétales et surtout sans horizon à atteindre, de lendemains à construire, de futur à édifier.

Par ailleurs, l’union n’est pas la fusion, l’union c’est l’unité, l’une des trois valeurs de la république congolaise (Unité – Travail – Progrès).

Quoiqu'une maison, quelle qu’elle soit, abîmée ou non, sans socle ni fondation s’écroulerait dans le temps comme un château de cartes. C'est la règle, elle est universelle et immuable dans tous les écosystèmes sociétaux.

Les pouvoirs politiques et les gouvernements d’union nationale n’ont toujours bien fonctionné qu’en cas de guerre avec l’ennemi venu de l’extérieur et ou dans le cas d’une période de transition politique nationale en vue de la refondation de la nation.

Par conséquent, une période de transition politique de 2 à 3 ans sera nécessaire pour la remise aux normes structurelles, conventionnelles et contractuelles de toutes les sphères politiques et sociétales de l’état et de la nation congolaise.

Jean-Luc Malekat : Et si c’était lui le candidat providentiel au poste de Premier ministre de la période de transition politique de 3 années au Congo Brazzaville?

PAS DE VRAIE POLITIQUE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE SANS LA BONNE GOUVERNANCE.

Jean-Luc MALEKAT, docteur en sciences économiques (France), diplômé de l'école des impôts (France), ancien DG des impôts (Congo) et du fisc(Congo), universitaire et ancien ministre de l'économie et des finances pendant la période de transition politique (1991/1992) au Congo Brazzaville.

Au plan budgétaire, Jean-Luc Malekat a géré comme en bon père de famille les finances publiques de l'état congolais (1991/1992) permettant la tenue du referendum constitutionnel du 15 mars 1992 et des quatre élections jamais constatées à savoir: les locales, les sénatoriales, les législatives, l'élection présidentielle et démocratique de juillet 1992. S'en est suivi l'élection de Pascal Lissouba.

Jean-Luc MALEKAT me l'a dit à moi Isidore AYA TONGA ceci- si je suis nommé au poste de Premier ministre (ce sera du 50/50 nord/sud Congo aux postes-clés de mon gouvernement et des administrations du pays) pendant la période de transition politique au Congo Brazzaville...

Et c'est ce que je vais mettre en place et de règles d'éthiques paritaires, de bonne gouvernance, de la signification de l'unité et de l'union nationale répondant aux aspirations de la volonté générale post régime d'exception en mode Sassou Nguesso !

Jean-Luc Malékat en photo à l’Université d’été du Medef ou du patronat français !

Jean-luc Malekat et son gouvernement de la période de transition politique de 3 années post régime d'exception Sassou Nguesso - ce gouvernement répondra aux aspirations de la volonté générale et appliquera les idées et les utopies de ses confrères de la pensée démocratique dont: Felix Tchicaya... Bernard Kolélas, Henri Itoua, Jacques Opangault, Alphonse Massamba Debat, Kikounga Ngot, Paul Kaya, Édouard Boubakas, André Milongo, Clément Mierassa et puis les universalistes congolais dont un certain Marien Ngouabi et tous les autres pionniers antérieurs et successifs du patriotisme congolais.

Objectif !

1- Punir judiciairement et dignement les anciens maitres d’œuvre et d’ouvrage de 34 ans de somalisation du Congo Brazzaville (crime de sang, les biens mal acquis, etc): case justice, case prison, confiscation de biens mal acquis, réparation de biens spoliés.

2- Mettre en place des symboles et la construction de deux monuments historiques dédiés d'une part au devoir de mémoire (contre l'intolérance politique à l'image à celui du Rwanda) et de l'autre aux grands hommes congolais: justice, réconciliation, réparation et indemnisation des parents des victimes, journées de mémoire de tous les crimes liés à l’intolérance politique, la place aux grands hommes congolais (le panthéon congolais), etc.

3- Penser et repenser les enjeux des libertés fondamentales, de la condition humaine du citoyen congolais et des standards normatifs internationaux en matière de règles: d’hygiène, d’urbanisme et de l’habitat, du cadre de vie, de l’alimentation, de médication, de l’éducation, de la santé, de transport en commun, des infrastructures, de l’économie, des finances, du social, de l’environnement et du sociétal.

4 – Penser et repenser les nouvelles règles du jeu politique: pouvoir, contre-pouvoir, répartition des nouvelles compétences cognitives sur différentes échelles nationales.

5 – reformer et restructurer le citoyen congolais: au niveau des mentalités, des habitudes et du comportement abimé par 34 ans de dictature Denis Sassou Nguesso, antisociale et criminogène.

6- mettre en œuvre des institutions fortes basées sur des représentativités électoralistes dialogiques, antagonistes, interférentes entre elles et complémentaires tant au niveau philosophique, politique, économique, social, culturel, environnemental que sociétal sur différentes échelles nationales !

7- restaurer et restructurer l’état congolais !

8 – restaurer le rang sous régional et continental.

9 – mettre en place des outils politiques, économiques, sociaux, culturels, environnementaux et sociétaux en-vue d’un processus viable d’alternance politique durable et d’émergence à l’horizon 2037 à 2050.

Publié par Isidore AYA TONGA - Au plus profond de moi-même, j'attends voir de mon vivant un Président Sudiste de haute valeur civilisationnelle suprême post période de transition politique.

Le Président et son Premier ministre de la période de transition, seront alors pendant 5 à 10 ans et plus - les stricts garants d'application des règles du jeu politiques et socioéconomiques édictées pendant cette période de refondation de société congolaise.

4 HYPOTHÈSES POLITIQUES S'OUVRENT AUX CONGOLAIS !

1 - les sudistes souhaitent la mise en place d'un fichier fiable afin que l'un des leurs devienne le Président de la République - comme en 1992- mais ça gronde au sein des forces politiques et militaires nordistes.

Les nordistes ont en mémoire la période chaotique du pouvoir Lissouba et le Pool Malebo aussi - une période que partage d'ailleurs 97% de la population de la région du Pool (Lari-Kongo et Batéké).

2 - les niboleks souhaitent avec les pourris et vendus du pouvoir Sassou Nguesso une alternance politique (certains nordistes et sudistes qui ont des comptes à rendre avec le peuple de 1992 à nos jours) et la tenue d'une élection présidentielle avec ou sans Sassou dès 2016.

Quoique les Niboleks restent figés à l'ethnocentrisme électoral des années 90.

Ils pensent qu'un des leurs va remporter les élections.

D'où la confusion qui règne au sein même des assises nationales du Congo entretenue par certains individus d'appartenance Nibolek.

3 - Si les niboleks n'ont pas compris qu'ils ont trahis les acquis de la Conférence nationale souveraine et qu'ils cherchent par tous les moyens une alternance politique sans période de transition politique - il est sûr que le prochain président de la république du Congo démocratiquement élu ou plutôt ethnocentratiquement élu sera de la région du Pool.

Ce sera le meilleur, de hautes valeurs civilisationnelles qui sera coopté par les intelligences nordistes et universalistes congolais.

Les Niboleks ont eu une chance inouïe de civiliser la société congolaise dès1992 - mais dans 97% de cas, la population congolaise profonde pense qu'ils ont été le danger du Congo pendant la période de 1992 à 1997.

4- Jean Marie Michel MOKOKO : Et si c’était lui le candidat providentiel au poste de Président de la République pendant la période de transition politique de 3 années au Congo Brazzaville?

Jean-Luc Malekat : Et si c’était lui le candidat providentiel au poste de Premier ministre de la période de transition politique de 3 années au Congo Brazzaville?

PAS DE VRAIE POLITIQUE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE SANS LA BONNE GOUVERNANCE.

Si la liberté est l’absence de toute règle et de toute contrainte, alors l’animal est libre.
Mais ce raisonnement n’a qu’une apparence de vérité: le comportement d’un animal est en fait dicté par son instinct, de sorte que l’animal ne peut pas s’empêcher d’agir comme il agit.

L’instinct commande, l’animal obéit : loin d’être le modèle de la liberté, l’animal est l’incarnation d’une totale servitude à la nature. On ne peut parler de liberté que pour un être qui s’est affranchi du déterminisme naturel.

Pour être libre, il faut pouvoir choisir de faire ou de ne pas faire. Seul donc un être qui s’est débarrassé de la tyrannie des instincts peut remplir les conditions minimales de l’accès à la liberté.
La liberté, ça se mérite – Ceux qui sont libres l’ont certainement mérité. Il faut alors la mettre en pratique et avancer.

Si tu es libre mais ne mets pas en action ta liberté acquise, cela signifie qu’à l’intérieur de ton être, tu ne seras jamais libre.
Quelqu’un de libre, adore mettre sa liberté en action. Sinon, à quoi ça sert d’être libre?

Emmanuel Kant soutient que c’est précisément là le rôle de l’éducation: elle a pour but premier de discipliner les instincts, c’est-à-dire de les réduire au silence pour que l’homme ne se contente pas d’obéir à ce que sa nature commande.

S’il suffisait d’obéir aux lois pour être libre, alors les sujets d’une tyrannie connaîtraient la liberté.

Pour Jean-Jacques Rousseau, la seule solution à ce problème à la fois politique et moral, c’est que je sois aussi l’auteur de la loi à laquelle je me soumets. Et vous le dictateur Denis Sassou Nguesso?

Publié par Isidore AYA TONGA
Pour l’histoire, la société, la démocratie et la civilisation