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En regardant minutieusement la voiture où se trouvait le tyran Sassou NGUESSO lors du défilé du 15 août 2017, j'ai prêté attention aux 2 objets de forme sphérique (de couleur verte en avant et rouge en arriere).
A quoi peuvent servir ces 2 jouets ? Il n'est pas exclut que ces deux objets fassent partie d'un système de radar ou de surveillance pouvant servir à repérer des Résistants Extérieurs à la dictature. Un système qui veille sur Brazzaville et ses environs. A quoi ça peut servir ?
LA FETE DU DICTATEUR A COUT DE 50 MILLIONS DE DOLLARS DANS UN PAYS RUINE ET EN FAILLITE
Cet engin militaire équipé de RADAR MOBILE(les deux sphères visibles sur le véhicule du dictateur congolais, est un système de défense anti-missile, coûte une fortune). Le prix de l'unité est 5 millions de dollars US, donc les deux au moins 10 millions de dollars. Comment un pays qui n'arrive pas à payer ses travailleurs, peut s'offrir ce pays. C'est scandaleux. Ajouter à cela les défilés militaires, la facture peut tripler.
Comment le tyran SASSOU NGUESSO peut-il dépenser énormément d'argent pour organiser ce genre de défilé en affamant sin peuple?
Madame Christine Lagarde est bel et bien contre le peuple:《Christine ne peut rien me refuser, dixit Sassou NGUESSO. Donc, le FMI fait son BUSINESS sur le dos des africains. Maintenant nous savons que ces grosses ONG comme le FMI n'agissent pas pour le bien des peuples.
LE PROBLEME J3MOKOKO DE SASSOU NGUESSO : CE QUI SE TRAME AUX YEUX DU MONDE ENTIER ET DE NOUVELLES SYNTHESES SOCIETALES…
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A cause de sa mauvaise gestion, Monsieur Sassou connait aujourd’hui de sérieux problèmes d’argent. Or, pour sa survie, une dictature comme celle qui règne au Congo a besoin de deux ingrédients : L’argent pour entretenir l’élite, la classe moyenne, et la peur pour étouffer les velléités de révolte des masses.
Cependant, actuellement, faute d’argent, Monsieur Sassou ne joue plus qu’avec le levier de la peur pour se maintenir au pouvoir. Face à cette faiblesse, l’heure est à la réflexion dans le camp du pouvoir ; une réflexion axée sur le dossier Mokoko et son futur. Oui, Monsieur Sassou a bel et bien un problème, et ce problème s’appelle Mokoko.
Ensuite, actuellement, Monsieur Sassou sait qu’il n’existe pas des solutions faciles a la crise socio-économique que traverse le Congo. Et contrairement à ce que pensent les proches de Monsieur Sassou, le FMI ne vient pas au Congo pour offrir de l’argent facile au pouvoir de Brazzaville.
Mieux, le FMI vient pour proposer au régime Congolais ce que les économistes anglo-Saxons appellent le « trimming » (une réduction draconienne des dépenses publiques afin de remettre un semblant d’ordre dans les finances d’un pays en faillite. Par conséquent, inéluctablement, les tensions sociales nées du manque d’argent vont s’accentuer dans le pays. Alors, dans ce contexte particulièrement explosif, que faire de Mokoko ?
Faut-il continuer de le garder en prison sans jugement ; faisant de lui de facto la seule autorité morale du pays capable de gouverner ce pays en crise ? Faut-il le libérer, courant ainsi le risque de paraitre faible aux yeux de l’opinion nationale ?
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Devant ce dilemme, le pouvoir de Brazzaville penche de plus en plus en faveur de la « libération conditionnelle » de Mokoko, en échange, selon eux, d’un renoncement à la vie politique par ce dernier. Selon les proches de Monsieur Sassou, Monsieur Mokoko pourrait par exemple accepter un exil doré en France en échange de sa liberté.
Déjà en mi-juin, la chambre de détention de Monsieur Mokoko a été réaménagée à la demande de Monsieur Sassou lui-même. Le but de ce charme sadique est bien celui d’amadouer Mokoko afin que ce dernier puisse accepter les termes de sa libération conditionnelle le moment venu.
Cependant, stoïque, Monsieur Mokoko rejette évidemment ce contrat de dupe.
Notre commentaire : A cause de son arrogance, sa haine et son mépris pour l’homme Mokoko, Monsieur Sassou a fini par faire de lui le Mandela du Congo. Hier, sous la pression interne et externe, le régime d’Apartheid ne savait plus que faire du prisonnier Mandela.
Libéré en 1990, Mandela a fini par devenir Président de son pays 4 ans après. Bientôt au Congo, face à la détérioration de la situation sociale dans le pays, Monsieur Sassou sera obligé de vider ses geôles à la demande des potentiels créanciers. Par conséquent, devant le refus catégorique de Mokoko d’accepter ses compromis iniques, Monsieur Sassou se voit donc piégé par sa propre soif du pouvoir.
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Pour terminer, nous partageons avec vous cette anecdote : Avant sa rentrée en prison, devant le peu de foi qu’affichaient certains de ses proches face à sa « patience stratégique », Monsieur Mokoko leur disait : « Dans un face à face qui s’inscrit dans la durée contre Denis Sassou Nguesso, je suis fort convaincu que c’est moi qui sortirai vainqueur.
Ceci parce que Sassou ne possède que la force du fusil, et moi j’ai la force de caractère. A long terme, le caractère finit toujours par avoir raison de la force brute. Tenez bon ». Nous pensons qu’il avait raison. Les mois à venir nous réservent des surprises.
Sources: réseaux périphériques et agents de synthèses des services congolais
Physicien américain d'origine allemande, Albert Einstein a changé par sa théorie fondamentale de la relativité, la conception humaine du temps, de l'espace et de l'univers, bouleversant ainsi la pensée scientifique et philosophique. Cette vidéo datant du 13 septembre 2015 a été pensé et publié par Isidore AYA TONGA dans le strict cadre d'une autre francafrique repensée et puis...
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