LE DICTATEUR SASSOU NGUESSO ET SA FRANCAFRIQUE ONT BRISÉ LA VIE DES CONGOLAIS MAIS PAS L'AME DU PEUPLE CONGOLAIS...
On a pu par exemple voir les autorités officielles (ambassadeurs) et officieuses (diplomaties parallèles) françaises à Brazzaville conspirer abusivement et d'une manière arrogante contre le général du peuple, J8M Mokoko " le célèbre prisonnier politique congolais, le président élu au 20 mars 2016".
Alors, face au terrorisme d'état incarné par le dictateur assassin et sanguinaire Sassou et qui, en particulier sévit dans la région du Pool et en général sur l'ensemble du territoire congolais ; et pourquoi l'ambassadeur de France au Congo Brazzaville ne prononce aucune allocution?
Combien de congolais as-tu massacré au nom de tes intérêts et des nôtres aussi? Mais attention, tu risques de terminer ta barbarie comme Samuel Doe...
Pourquoi le dictateur Sassou a toujours fait confiance à ses donneurs d'ordre politico-affairistes et franc-maçonniques français?
Pourquoi la France de gauche et de droite a toujours renseigné, conseillé, soutenu et militarisé en coulisse le bourreau de tout un peuple: le dictateur assassin et voleur Denis Sassou Nguesso?
La France est-elle encore le premier partenaire économique du Congo Brazzaville ou celui du dictateur Sassou Nguesso, de ses enfants, de son clan au pouvoir, de ses dignitaires et de ses courtisans étrangers et partenaires français?
Les relations diplomatiques et stratégiques entre deux états partenaires économiques représentent-elles toujours les intérêts des peuples ou plutôt ceux d'un dictateur avec un état-tiers?
Autrement dit le Congo Brazzaville est-il désormais la propriété privée du dictateur Sassou Nguesso et de ses actionnaires politico-affairistes français?
Dans ce cas précis, peut-on parler d'un coté de haute trahison condamnable à la peine de mort et de l'autre d'abus des intérêts des peuples par un pays partenaire des intérêts diplomatiques et économique mutuels?
Affaires de relations diplomatiques, stratégiques et économiques: le divorce entre le Congo Brazzaville et la France est-il susceptible d'agir après la chute du dictateur Sassou Nguesso?
Dans ce cas, la France serait-elle susceptible d'être déclassée dans le temps au rang de 2e, 3e et 4e partenaires diplomatiques, économiques, stratégiques et militaires du Congo Brazzaville post dictateur génocidaire francafrique Sassou Nguesso?
D'après tout les puissances économiques, elles n'en manquent pas dans le monde - les puissances militaires, elles n'en manquent pas dans le monde - les puissances technologiques, elles n'en manquent pas le monde et puis...
Si la France ne souhaite pas être par être déclassée à court terme au Congo Brazzaville et dans la sous-région - Elle devrait assumer et maintenant ses responsabilités face à son positionnement diplomatique, économique et géostratégique d'un autre âge face au terrorisme d'état incarné par son sous-préfet monsieur Sassou Nguesso.
Le Congo Brazzaville a les ressources naturelles et les écosystèmes naturels nécessaires aux enjeux socio économiques du pays et du bassin du Congo, le plus riche en biodiversité faunistique, floristique et en géodiversité minérale (minerais) et des terres agricoles, de l'eau et des forets...
ÉPILOGUE: LE DICTATEUR SASSOU A-T-IL INDUSTRIALISÉ LE TERRORISME D’ÉTAT AU CONGO BRAZZA ET POURQUOI FAIRE?
Comme au Rwanda en 1994, la France est en partie responsable du génocide qui sévit actuellement au Congo Brazzaville?
Par ailleurs, après avoir donné quitus de tuer les congolais au dictateur Sassou, le Président François Hollande pourrait d'ailleurs entrer dans les annales de crimes de sang par procuration au Congo Brazzaville.
Le terroriste d'Etat ou du terrorisme d'État consiste en l'utilisation de la terreur armée, policière, et judiciaire exercée sur sa propre population par l'autorité suprême de fait ou de droit.
Le terrorisme d'état en mode dictateur Sassou Nguesso se résume: les arrestations arbitraires, la torture, les actes de barbarie, les tribunaux expéditifs, les emprisonnements sans foi ni loi, les disparitions suspectes et les exécutions hors-procès sont cités comme pratiques courantes de terrorisme d'État, souvent utilisées pour terroriser les populations par le régime politique d'exception et aux crimes multiformes au Congo Brazzaville.
Pensé et publié par Isidore AYA TONGA
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