LA FRANCE A UNE PART DE RESPONSABILITÉ FACE A L'EVOLUTION DE LA SITUATION SOCIOPOLITIQUE ENGENDRÉE PAR LEUR SOUS-TRAITANT NÉGRIER MR 8% !
Non, le général ne va pas bien, son état de santé est inquiétant !! Sassou-Nguesso a décidé de le tuer en prison.
Nous prenons la communauté internationale à témoin face à cette barbarie orchestrée par ce tyran. Comment la France peut-elle encore continuer à assister ce criminel embastiller et torturer les opposants?
Officier et sous officier, il faut secourir votre frère d'arme. Prenez votre responsabilité. Ne perdons pas cet homme qui incarne l'espoir d'une nation entière... Le général est un homme d'Etat!
Et c'est le seul qui nous reste. L'Equipe de Brazzanews est en larme...Trop c'est trop.
AUX RÉSISTANTS POLITIQUES CONGOLAIS: SI SASSOU NGUESSO A LA MARGE DE COMMETTRE CA ET SANS QUE CELA PUISSE FAIRE RÉAGIR PLUS D'UN HUMANISME DU MONDE LIBRE, CA SOUS ENTEND QUE LA VOIX EST LIBRE POUR FAIRE PIRE QUE LUI APRES LUI A L'ECHELLE NATIONALE ET EN PARTICULIER DANS L'OYOCRATIE.
LA FRANCE LAISSERA -T-ELLE SON SOUS-TRAITANT NÉGRIER SASSOU-NGUESSO TUER LE GÉNÉRAL MOKOKO ET INCENDIER LE PAYS?
LA FRANCE JOUE UN JEU CRIMINEL TRÈS DANGEREUX POUR SES INTÉRÊTS DIPLOMATIQUES, GÉOSTRATÉGIQUES ET ECONOMIQUES POST SOUS-TRAITANT NÉGRIER MR SASSOU NGUESSO AU CONGO BRAZZAVILLE ET DANS LA SOUS-RÉGION D'AFRIQUE CENTRALE. A SUIVRE !!!
LA FRANCE JOUE UN JEU CRIMINEL TRÈS DANGEREUX POUR SES INTÉRÊTS DIPLOMATIQUES, GÉOSTRATÉGIQUES ET ECONOMIQUES POST SOUS-TRAITANT NÉGRIER MR SASSOU NGUESSO AU CONGO BRAZZAVILLE ET DANS LA SOUS-RÉGION D'AFRIQUE CENTRALE. A SUIVRE !!!
LA FRANCE JOUE UN JEU CRIMINEL TRÈS DANGEREUX POUR SES INTÉRÊTS DIPLOMATIQUES, GÉOSTRATÉGIQUES ET ECONOMIQUES POST SOUS-TRAITANT NÉGRIER MR SASSOU NGUESSO AU CONGO BRAZZAVILLE ET DANS LA SOUS-RÉGION D'AFRIQUE CENTRALE. A SUIVRE !!!
LA FRANCE LAISSERA -T-ELLE SASSOU-NGUESSO TUER LE GÉNÉRAL MOKOKO...Par Mingwa BIANGO
La France est attentive à la situation politique au Congo, ainsi qu'à celle de Jean-Marie Mokoko et des autres opposants, a déclaré un communiqué du Quai d'Orsay, le ministère français des A...
Anonyme dit :
La France, la France toujours la France mais demain se sera une autre nation et on y appliquera les mêmes excuses et les mêmes supplications car nous n’avons pas l’honnêteté de voir ni de reconnaître nos faiblesses et notre incapacité à faire face au tyran.
Sassou n’est qu’un tigre de papier dans n’importe quel autre pays il aurait déjà été balayé depuis longtemps et au lieu de cela nous l’avons accompagné bien gentiment dans ses délires depuis 33 ans.
Je reprend aussi ce que qu’a si bien dit. » Bulukutu dit : »
« Nos peurs, leur force, nos lâchetés, leur force,… »
Mais au fait, qu’attendons nous concrètement de la France car comme l’a dit plus haut LONDI « Les États sont des structures technocratiques et non humanistes ».
Croyez vous que les Burkinabés se soient posés autant de questions, ils ont virés Campaoré et la France n’a fait que validé devant le fait accompli.
Pascal Malanda dit :
Cette image dégradante et humiliante m’inspire deux questions.
1. Y a-t-il encore des officiers dignes et valeureux dans ce qui reste de l’armée congolaise ? En 1968, une poignée d’officiers du Groupement aéroporté était allé libérer leur camarade emprisonné injustement. Il s’agissait du capitaine Marien Ngouabi. Parmi ces officiers, il y avait un certain Denis Sassou Nguesso.
2. Où est le peuple qui a acclamé Mokoko pendant la campagne électorale ? Sommes-nous un peuple de lâches qui acclament les héros et abandonnent les vaincus à leur sort ? La police mettra-t-elle 10.000 Brazzavillois en prison si ces derniers se lèvent comme un seul homme pour exiger la libération de Mokoko ? Les Burkinabè se sont levés et ont arrêté la dérive dictatoriale ; sommes-nous moins intègres qu’eux ?
Si ni l’armée ni le peuple ne libèrent Mokoko, ce sera la preuve que nous méritons notre sort. Il ne faudra pas aller verser de larme de crocodile en faisant le médecin après la mort.
Londi dit :
Cette image nous renvoie notre lâcheté tel un boomerang. Notre lâcheté dans la façon de chercher des boucs émissaires sur d’autres continents. Notre lâcheté de voir tous nos prophètes tuer, embastiller, torturer et enfin exhiler pendant que l’on reste assis sur le côté et observer paisiblement le cortège macabre. Notre lâcheté de nous battre par procuration. Notre lâcheté de penser que les carottes sont cuites et de laisser le petit Dictateur de Brazzaville pavaner sur les corps encore chauds de nos martyrs. Notre lâcheté de ne pas enfin notre destin en mains. Quand comprendrons-nous, enfin, que nous devons être les propres artisans de notre liberté. Les États sont des structures technocratiques et non humanistes. Ils structurent et pilotent le destin de leurs administrés. Ils n’iront jamais contre le bien-être de ceux-ci (plein emploi, éducation, santé, etc.) alors comprenons une fois pour toutes que les premiers concernés et responsables de cette image, c’est nous. Pas Hollande. Nous ne sommes qu’une bande de lâches. Écrivons -le sur nos frontons : la diplomatie n’évolue qu’en rapport de forces. La démocratie ne se donne pas, elle s’arrache au travers des luttes. Oeuvrons pour une opposition forte pour créer ce rapport de forces. Oublions la France.
VAL DE NANTES dit :
IL est des images , qui traduisent la souffrance profonde d’un peuple , celle de MOKOKO en est une parfaite illustration .
Mais l’histoire mettra des mots à ces actes ignobles dont les accusations seront le fruit de l’imagination du monstre d’EDOU .
Cet homme qui a transformé la nation en ethnie , et l’Etat en tribu , sera banni dans les annales de notre histoire politique .Ces lézardes ont déconstruit l’essor national et préjudicié à notre unité nationale ;
L’empoisonnement de notre conscience nationale, qui est le résultat de la cristallisation coordonnée des aspirations du peuple ,démontre le narcissisme volontariste de SASSOU de faire des congolais ses sujets sur lesquels il disposerait le droit de vie et de mort .
Ce visage émacié de MOKOKO devrait en interpeller plus d’un vrai militaire .
LE CONGO2016 dit :
Il est de comprendre que la France c’est sassou, vous êtes dans quelle planète? C’est a l’armée congolaise de défendre leur général.
Kassava de Tsibakala dit :
Chers compatriotes,
Il est désormais de notre devoir de présenter un langage ferme, direct et concis à Monsieur François Hollande, le président de la république française.
Je me permets de prendre parole en public et de décrier tout mon émois de voir le général Jean Marie Mokoko dans une si mauvaise posture. Je suis sidéré et les mots me manquent.
Dans la vie d’un homme, il s’impose des parfois l’impératif de faire un choix entre un frère et un ami de circonstances.
J’ai fait mon choix, je suis avec le général Jean Marie Mokoko qui est mon frère. Je m’insurge contre le président français en l’occurrence Mr François Hollande.
Je le dis en tant que citoyen congolais libre et affranchi de toute dépendance de la nation française dans toutes ses formes et dimensions : au cas où le général Jean Marie Mokoko trouverait la mort que ce soit en captivité au Congo ou lors d’une évacuation sanitaire gérée par la France, dans les heures qui suivraient cette nouvelle, aucun citoyen français se trouvant sur le sol congolais ne sera pas épargné de nos représailles.
Le peuple congolais sera debout comme un seul homme et fera ménage de cette malsaine cohabitation franco-congolaise.
Notre riposte sera ferme et n’aura pas d’équivalence dans la longue liste des luttes de libération des peuples.
La France doit savoir que dans chaque jeu il y a toujours un début et une fin. Et dans cette tragi-comédie franco-congolaise, le peuple congolais aura le privilège de dire le dernier mot.
A bon entendeur Salut à Mr Hollande …
Vive le CONGO
DESOBEISSANCE MILITAIRE À PARTIR DU 8 JUILLET 2016.
Déclaration militaire.
Officiers supérieurs et subalternes, sous Officiers et Hommes de troupes, j'aimeraism'adresser à vous tous en vous rappelant que nous sommes les forces armées congolaises et non privées.
Au regard de tous ce qui traverse actuellement notre pays, l'injustice et le désordre qui gagnent les rangs de notre armées.
Aujourd'hui, le général Sassou nous prend pour des minables hommes en faisant appel aux troupes étrangères afin de tuer notre peuple. Un peuple sans défense et sans recours.
Hier encore, il a demit des officiers supérieurs comme le colonel Tsourou, le Général Mokoko, le Général Andely et j'en passe.
Jusqu'à quand allons nous assister à l'injustice d'un plan qui ne veut que la conservation du pouvoir sous son pied.
Nous ne sommes pas dans une monarchie ou un royaume, nous avons fait le serment de défendre notre peuple et de sauvegarder l'intégrité de notre paix menacée par la présence de troupes mercenaires sur invitation du général Denis Sassou-Nguesso.
En marge de la désobéissance civile, chers frères d'armes, la constitution de notre pays nous oblige à résister face à des comportements néfastes. Nous sommes capables et nous devons le prouver aux yeux du monde que nous sommes une armée nationale et non politique.
Les politiques et le peuple ont montré leur volonté démocratique et certains sont embastillés.
Chers frères d'armes, je vous invite tous à une désobéissance militaire sans fin jusqu'au départ des troupes mercenaires de notre territoire et la libération du Général Jean Marie Michel Mokoko.
Que tous ceux qui ont des armes lourdes ou légères, à partir du 8 juillet 2016, de 2h à 5h, que tous les militaires ou qu'ils se trouvent, dans toutes les villes du Congo, ouvrent le feu pour demander le départ de ces troupes criminelles.
Il n'y a que les cadavres qui n'ont pas le courage d'agir. J'invite le peuple a rester chez lui pendant une semaine à partir de cette date car les forces armées congolaises mèneront une opération de désobéissance militaire tous les jours jusqu'à obtenir notre exigence.
Nous ne pouvons accepter que le groupement para commando soient totalement désarmées en faveur de civils dirigés par le député Mouagni Aimé Hydevert.
Vaillante Forces Armées Congolaises, le peuple déterminé compte sur nous.
Vive la Désobéissance militaire
Vive les FAC
Vive la République du Congo.
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